La Fabrique

Duo Show «La Fabrique » : Anna Korver & Mahoussi Ahodoto

 Le Duo Show La Fabrique !? est une ode aux architectures sociales, et une réflexion anthropologique sur les forces psychiques qui habitent les phénomènes de déconstruction. Cette exposition raconte des dynamiques de construction des valeurs un narratif on ne peut plus éclectique où les problématiques de genre convient les notions de statut, et de l’ailleurs à une représentation singulière.

MOT DU PARRAIN

 Dé (construire) !

« Carcasse, tu trembles ? Tu tremblerais bien davantage, si tu savais où je te mène », Turenne.

Les robes de l’existence s’invitent aux esclandres de la poétique formelle … Quelque chose de structurale habite dans les pénombres des constructions … De la vanité pour célébrer les déconstructions sociales, et anthropologiques, la plasticité des maux accueille des cathédrales de candeurs … Voici une courbe, et une autre courbe, et puis une chaise qui s’’asseyent à la table de la vie … La Fabrique suggère une onde de prose qui écrit l’envers des choses, et des êtres : ces dévots du nouveau monde …

Note d’intention

Le Duo Show La Fabrique !? est une ode aux architectures sociales, et une réflexion anthropologique sur les forces psychiques qui habitent les phénomènes de déconstruction. Cette exposition raconte des dynamiques de construction des valeurs un narratif on ne peut plus éclectique où les problématiques de genre convient les notions de statut, et de l’ailleurs à une représentation singulière.

Parties/Sections

Section I : Une robe existentielle …

Section II : Une Marche, et puis …

Section III : Démontage …

Section IV : Dernier Solo …

 

Charly d’ALMEIDA (Staged)

Steven ADJAÏ (Curator)

ARTISTE PEINTRE 
Pierre Mahoussi AHODOTO

Né en 1987

Pierre Mahoussi Ahodoto a grandi sans famille et a connu la rue, c’est le « pinceau » qui a été son salut, son rempart contre la solitude. Quelques années auprès de l’artiste Adogra qui l’encourage et lui « inculque le sens du travail réalisé à mains nues » canalisent son travail, quelques expositions, le mettent dans la bonne voie. Les sculptures brutes composent avec des matériaux non renouvelables, récupérés, « collectés », montrent son engagement pour l’environnement et dans la vie sociale qu’elles dévoilent, des éléments clés de sa culture, la calebasse à offrandes, les tablettes aux signes divinatoires du , des potions, lui permet une lecture géopolitique du continent africain dans une installation. Sa peinture qui s’est vue allégée de la plupart des éléments figuratifs, on remarquera une roue, celle de la vie peut être qui revient leit-motif, des traits noirs ou blancs qui suivent un élément et le renforcent, a fait place à l’unique variété des couleurs pour des toiles vibrantes, lumineuses. Dans un jeu de mots qu’il affectionne, Mahoussi « parti de zéro, pour devenir héro » d’un art qui allège l’environnement et apporte l’émotion dans le quotidien.

ARTISTE SCULPTEURE
Anna KORVER

 

Anna Korver est une artiste néo-zélandaise / béninoise travaillant à l’échelle nationale et internationale. Elle est sculpteure professionnelle à temps plein depuis qu’elle a obtenu un baccalauréat en sculpture de l’Université de Canterbury, en Nouvelle-Zélande, en 2003. Ses œuvres ont été sélectionnées pour des expositions prestigieuses, des commandes publiques et privées et des événements tels que les prix Wallace, Brick Bay sculpture Trail, Jardin de sculptures de Tai Tapu ainsi que plus de 80 symposiums de sculptures nationaux et internationaux.

Les œuvres récentes de Korvers se sont réparties en plusieurs séries spécifiques, où l’expérience humaine est décrite sous différentes perspectives à la fois littérales et métaphoriques ; intériorisé et extériorisé. Certains examinent les questions sous-jacentes au sujet de la maison en tant que concept transitoire en utilisant des symboles tels que la figure, le cube, les récipients et les sections du paysage comme référence à certains systèmes de soutien dont nous dépendons. Ces œuvres explorent l’idée de la maison en tant que terme abstrait inspirant parfois un sentiment de séparation, de restriction ou de piégeage, d’armement et de défense et d’autres fois une évasion, un abri, un sanctuaire ou une protection. Ses œuvres récentes sont continuellement curieuses du lien entre l’architecture et l’expérience humaine, des personnes et du lieu ; la façon dont l’un affecte l’autre et comment l’histoire et l’expérience de chacun vont de pair. Ils semblent s’influencer et s’imprégner les uns des autres inconsciemment et consciemment. Cependant, ces pièces portent davantage sur la déconstruction et la reconstruction de soi via le symbolisme de l’architecture.